Dès l’âge de 18 ans, j’ai su que je voulais devenir thérapeute. Curieuse de nature, j’ai passé mon adolescence à m’interroger sur les relations humaines, à me questionner sur le pouvoir du cerveau, à réfléchir sur l’inconscient et tous les processus en jeu. C’est à la même époque que sont apparus de nombreux inconforts physiques perturbant mon quotidien : troubles digestifs, acné, syndrome prémenstruel… Je me suis penchée alors sur l’hygiène de vie, notamment le rôle de la nutrition et son impact sur les troubles fonctionnels. J’en ai rapidement ressenti des bienfaits considérables.

Ces dix dernières années, j’ai vraiment compris ce qui m’animait : accompagner les autres pour qu’ils se sentent mieux sur le plan physique et mental. La naturopathie et les thérapies émotionnelles se sont donc naturellement imposées à moi comme étant des outils remarquables pour mettre en lumière certains blocages, venir à bout de dysfonctionnements, afin d’évoluer vers un mieux-être. De ces deux disciplines j’ai fait mon métier après avoir suivi des formations qualifiantes.